Articles

Affichage des articles du octobre, 2020

Les nouveaux biomédicaments à base de plantes pour le traitement topique des troubles dermatologiques / New Herbal Biomedicines for the Topical Treatment of Dermatological Disorders (2020)

Image
Les extraits de plantes et les composés isolés à partir de végétaux jouent un rôle croissant dans le traitement des affections cutanées et des plaies. Plusieurs nouvelles plantes médicinales, médicaments et produits cosmétiques pour le traitement de diverses affections cutanées ont été développés ces dernières années. Dans cette revue les auteurs se sont concentrés sur les médicaments à base de plantes qui ont été testés dans des études cliniques contrôlées ou dans des études précliniques scientifiquement solides. Les biomédicaments à base de plantes sont destinés à traiter : -           la dermatite atopique (millepertuis, réglisse, tormentil, substances amères, onagre) -           le psoriasis (araroba, fleur de dentelle, écorce d'épine-vinette, indigo, curcuma, oliban, millepertuis) -           les kératoses actiniques (écorce de bouleau, petite euphorbe) -           l’herpès simplex (mélisse, sauge et rhubarbe) -           la rosacée (thé vert, réglisse, tormentille)

Données probantes du projet pilote national de santé publique sur les facteurs de risques qui influencent la contamination des cosmétiques personnalisés fabriqués sur place. / Risk factors influencing contamination of customized cosmetics made on-the-spot : Evidence from the national pilot project for public health (2020)

Image
Les cosmétiques sur mesure fabriqués sur place par des consommateurs ou des vendeurs sur place présentent plusieurs problèmes de sécurité et nécessitent donc une approche préventive de la gestion de leur sécurité. La présente étude vise à identifier les facteurs potentiels affectant la sécurité des cosmétiques personnalisés fabriqués sur place. Les métaux lourds et les contaminants microbiens dans les cosmétiques personnalisés ont été analysés dans 120 échantillons. Il a été révélé que le transfert de produits cosmétiques vers de nouveaux contenants pendant le processus de production est un facteur de risque important de contamination croisée ; de plus, le traitement thermique est crucial pour réduire le nombre de micro-organismes dans les produits. Par exemple, les cosmétiques fabriqués avec de la chaleur et sans transfert ont montré des numérations microbiennes relativement faibles allant de non détecté à 440 CFU / ml. Le pH élevé (> pH 10) des échantillons ne garantit pas la sécu